• La Cryptozoologie

    Les scientifiques japonais et du monde entier furent consternés d’apprendre qu’une telle dépouille, une découverte qui aurait pu être la preuve définitive de l’existence de telles créatures marines. Après l’examen des clichés ainsi que des croquis dessinés par Michihiko Yano, un responsable de la pêcherie qui se trouvait alors sur le Zuiyo Maru, les savants conclurent que l’animal était peut-être une plésiosaure (le même animal si souvent associé à Nessie, le monstre du Loch Ness), soit un reptile marin supposément disparut depuis fort longtemps, mais qui aurait pu survivre jusqu’à nos jours. Cette espèce vivait effectivement au large des côtes australiennes il y a près de 100 millions d’années. Des chercheurs plus septiques ayant effectués des recherches par la suite ont déclaré que la carcasse était tout simplement celle d’un immense requin-pèlerin.


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  • La Cryptozoologie 
    Le calamar géant : un mythe devenu réalité. Une bonne exemple est les nombreuses observations de craken (ou kraken), une immense créature, que certains navigateurs confondaient même avec une île, ressemblerait à une pieuvre cornue et était réputée pour être capable d’attaquer les plus grands navires. De nombreux écrits scandinaves, dont certains remontent à l’an 1000, relate les activités de monstres énormes dans les mers nordiques. Le terrible monstre Scylla dépeint dans « L’odyssée » de Homère, au VIII e ou IX e siècle, comme étant une curieuse pieuvre qui, malgré les nombreux membres humains la composant, ressemble en tout point au poulpe géant dans sa façon de chasser les proies, mais possèdes les tentacules en forme de dents de scies, comme les calamars géants. Des milliers d’années plus tard, nous savons maintenant que les légendes au sujet des crakens sont basées sur des observations faites de calamars géants, soit, sur des faits réels.


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  • La Cryptozoologie

    La légende du monstre du Loch Ness est particulièrement ancienne, puisqu'on en retrouve les premières traces en 565 dans les chroniques du moine irlandais Saint Colomban : il déclara avoir enterré un homme mordu mortellement par « an Niseag » (nom celte de Nessie). On trouve quelques traces du monstre au XVIe siècle. Mais c'est à partir du XIXe siècle que les témoignages se sont faits plus nombreux et plus précis.

    Le monstre a fait l'objet d'une curiosité renouvelée dans les années 1930, surtout après la construction en 1933 d'une route en bordure du lac qui favorise les témoignages. Le premier article de journal racontant l'apparition du monstre est publié en mai 1933. On peut même apercevoir la créature sur une photographie supposée prise en 1934 par Robert Kenneth Wilson et qui fera le tour du monde ; mais celui-ci avoue finalement avoir monté un canular. Les témoignages se multiplient ensuite, notamment à partir de 1935, date à laquelle un couple d'Écossais affirma avoir croisé la créature en courant, devant leur automobile.

    Plusieurs expéditions ont été menées pour tenter de capturer ce monstre, qui mesurerait de 4 à 5 m de long. Pour la première tentative, le 30 mai 1933, les volontaires ont essayé de l'attraper avec de vulgaires outils : tonneaux, fils de pêche, hameçons et morceaux de poisson en guise d'appât.

    Encore aujourd'hui, des scientifiques cherchent à faire la part entre légende et réalité, examinant différentes hypothèses et faisant appel à des technologies de pointe pour sonder les eaux du Loch Ness, sans jamais pouvoir confirmer l'existence du monstre.

    En 2007, une vidéo montrant un mouvement sous l'eau du lac ranime l'attraction autour du site. Cette vidéo possède en effet une qualité permettant une analyse réelle, contrairement aux nombreux canulars qui ont circulé depuis des années.


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  • La Cryptozoologie
    C’est à environ une quinzaine de kilomètre au sud du Caen, qu’une bête mystérieuse sévit dans la forêt de Cinglais. Ce monstre, que l’on décrit comme une espèce de loup roux, mais au corps davantage allongé et avec la queue pointue qu’un loup commun. L’animal semblait très rapide et avec une agilité incroyable.

     

    La Gazette du 19 mars 1632 rapporte :

    «De Caen en Normandie. Le 10 dudit mois de mars de l’an 1632. Il s’est découvert depuis un mois dans la forêt de Singlaiz entre ci et Falaise une bête sauvage qui a déjà dévoré quinze personnes. Ceux qui ont évité sa dent rapportent que la forme de cet animal farouche est pareille à celle d’un grand dogue d’une telle vitesse qu’il est impossible de l’atteindre à la course, et d’une agilité si extraordinaire qu’ils lui ont vu sauter notre rivière à quelques endroits. Aucuns l’appellent Therende. Les riverains et gardes de la forêt lui ont bien tiré de loin plusieurs coups d’arquebuse, mais sans l’avoir blessé. Car ils n’osent en approcher, même se découvrir jusqu’à ce qu’ils soient attroupés comme ils vont faire au son du tocsin; à quoi les curés des paroisses circumvoisines ont invité tous les paroissiens à ce jourd’hui, auquel on fait étant qu’il s’assemble trois mille personnes pour lui faire la huée.»

     

    Les curés rassemblèrent donc les membres des paroisses voisines et organisaient des battues dans la forêt de Cinglais. Les chasseurs et les villageois évitent d’entrer dans la forêt, sauf lorsqu’ils sont plusieurs. Le comte de la Suze pris les choses en mains en juin 1633 en réunissant entre 5000 et 6000 hommes et organisa une gigantesque battue. Cette tentative porta fruit, une bête mystérieuse, similaire à plusieurs témoignages fut tuée, et les massacres cessèrent.


    La Gazette du 17 juin rapporte la mort de la créature :

    « Cette bête furieuse dont je vous écrivais l’année passée ayant depuis deux mois dévoré plus de trente personnes dans cette forêt passait pour un sortilège dans la croyance d’un chacun. Mais le Comte de la Suze ayant par ordre de notre lieutenant général assemblé le 21 de ce mois 5000 à 6000 personnes, l’a si bien poursuivi qu’au bout de trois jours elle fut tuée d’un coup d’arquebuse. Il se trouve que c’est une sorte de loup plus long, plus roux, la queue plus pointue et la croupe plus large que l’ordinaire.»

    La bête de Caen aurait donc tuée une trentaine de personne en un peu plus d’un an. Elle sera finalement identifiée comme étant un loup, mais un grand mystère plane encore autour de cette histoire; le comportement et l’agilité de la bête ne ressemblant en rien à celle d’un loup commun.

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  • La Cryptozoologie

    La légende du monstre du Loch Ness est particulièrement ancienne, puisqu'on en retrouve les premières traces en 565 dans les chroniques du moine irlandais Saint Colomban : il déclara avoir enterré un homme mordu mortellement par « an Niseag » (nom celte de Nessie). On trouve quelques traces du monstre au XVIe siècle. Mais c'est à partir du XIXe siècle que les témoignages se sont faits plus nombreux et plus précis.

    Le monstre a fait l'objet d'une curiosité renouvelée dans les années 1930, surtout après la construction en 1933 d'une route en bordure du lac qui favorise les témoignages. Le premier article de journal racontant l'apparition du monstre est publié en mai 1933. On peut même apercevoir la créature sur une photographie supposée prise en 1934 par Robert Kenneth Wilson et qui fera le tour du monde ; mais celui-ci avoue finalement avoir monté un canular. Les témoignages se multiplient ensuite, notamment à partir de 1935, date à laquelle un couple d'Écossais affirma avoir croisé la créature en courant, devant leur automobile.

    Plusieurs expéditions ont été menées pour tenter de capturer ce monstre, qui mesurerait de 4 à 5 m de long. Pour la première tentative, le 30 mai 1933, les volontaires ont essayé de l'attraper avec de vulgaires outils : tonneaux, fils de pêche, hameçons et morceaux de poisson en guise d'appât.

    Encore aujourd'hui, des scientifiques cherchent à faire la part entre légende et réalité, examinant différentes hypothèses et faisant appel à des technologies de pointe pour sonder les eaux du Loch Ness, sans jamais pouvoir confirmer l'existence du monstre.

    En 2007, une vidéo montrant un mouvement sous l'eau du lac ranime l'attraction autour du site. Cette vidéo possède en effet une qualité permettant une analyse réelle, contrairement aux nombreux canulars qui ont circulé depuis des années.


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